Dimanche 13/04 - De 10h30 à 12h Assistez à votre propre messe funéraire.
En cette fin de matinée dominicale, certains Mercenaire avaient pris rendez vous pour aller ne serai ce que tenter de reconquérir la zone et se faire un chemin vers les scrolls.
La stratégie était donc de prendre autant de forts que possible avant que leurs ennemis jurés ne soient sortis de leurs doux couchages. Mais hélas, qu'attendre d'hommes et de femmes dont la semaine a été rude en exploration et en quêtes tarabiscotées. Eux aussi avaient besoin de repos et donc, comme une grande blonde l'avait prédit, et râlé, se qui devait arriver arriva.
Puisque nous étions levé, pourquoi pas nos ennemis ne le seraient-ils pas ?
Nos pas-très-matinaux soldats retrouvèrent donc une poignée de leurs soit disant "alliés" -car il faut le vivre pour le comprendre- menés par -Beowulf.
La grille de la porte de Chimm était abaissée quand la petite troupe se lança alors à l'assaut du fort des Armoiries; Ursugor en tête, en tant que leader et stratège malgré ces quelques lacunes du moment.
Son idée était qu'étant en si petit nombre, la prise des ressources serai trop fatale, et qu'il faudrait donc directement s'attaquer aux murs de la bastille. Mais une fois la muraille défoncée, les troupes s'éparpillèrent, les mages et les défenseurs du fort résistaient et de nombreux hommes périrent.
Après avoir tenté de s'infiltrer à l'intérieur et d'abattre les murs, les ennemis alertés se sont rassemblés et on prit les belligérants à revers.
Ursugor décida alors de changer de front et d'aller frapper le fort Farragut et ses ressources. La compagnie s'éparpilla de nouveaux, puisque -Beowulf tenta de retourner aux Armoiries. On lui rappela alors humblement qu'il n'était pas le leader en ce jour et qu'il devait suivre le mouvement comme nos soldats le faisaient quand lui dirigeait, menant souvent tout le monde au cimetière. Mais nous parlons bien de -Beowulf, celui qui rejoignit alors le front et qui chargea comme un bœuf dans le tas avec ses compagnons. Ce qui couta la vie à beaucoup puisque les rares soigneurs présents n'avaient point régénérer leurs magie et ne purent assister les combattants.
Après avoir durement combattu pour reprendre la ferme, la scierie (pas la Syrie banane), et la mine afin de couper l'arrivée de renfort de Daguefilante, les hommes de Cœurébène installèrent leurs machines de guerre et bombardèrent ardemment les murs de la bâtisse.
Ursugor orchestrait l'attaque de la bastille depuis son promontoire rocheux, confortablement assis sur une chaise que Shéogorath seul sait qui l'a emmené.
Harteda la Khaajiit n'en avait cure, trop occupée avec sa catapulte.
Le général observa ses troupes, incapable d'en faire plus bloqué par quelques handicap. Il gardait un œil bienveillant sur sa collègue, en bas à gauche, toutes armes dehors, Aphelia dans sa robe bleue, prête à lancer un bouclier géant en cas de riposte armée. Plus à droite, Balder usait encore de son trébuchet qui prenait feu. Même pas peur.
Une fois le rempart passé, les assaillants nettoyèrent les murs et s'élancèrent ensuite à l'assaut de la porte principale.
Mais les mages la défendant étaient trop puissant, alors le général ordonna de passer par la petite porte (huhuhu).
La brèche faite, les soldats s’engouffrèrent et combattirent avec héroïsme et dés-ordonnance, nettoyant les étages de rares ennemis qui étaient présent.
Mais l'heure passant, et l'alerte donnée, nos valeureux bout de chair à trébuchet ne résistèrent point longtemps au retour en force des soldats de Daguefilante.
Le raid se termina en une triste et mémorable hécatombe.